ARTICLE D’UN MEMBRE : Piétinement
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Recon News
16 octobre 2020
Par shwtguy
Le piétinement, ou trampling, est un fétiche très rare. Il consiste à se tenir debout, à marcher et à piétiner sur un corps en utilisant tout son poids. Je l'appelle souvent une niche au sein d'un fétiche. Tout le monde a entendu parler du fétiche des pieds, mais il y a beaucoup de sous-catégories qui en découlent. L'un d'elles est le piétinement.
Un piétineur est quelqu'un qui marche sur des mecs, et un piétiné est une personne qui se fait marcher dessus. Comme pour tout, les sessions peuvent varier selon les goûts de chacun. Certains hommes préfèrent que ce soit plus relax et amical, qu'on se tienne sur eux et qu'on leur marche dessus gentiment. Ça peut être doux et sensuel, presque comme un massage. D'autres hommes aiment être dominés sous des pas lourds et secs avec des bottes, ou autre. Cela s'incorpore aussi dans le jeu des Maîtres / esclaves. Ça peut être pratiqué pieds nus ou avec toutes sortes de chaussures de sport ou de tenues fétichistes. J'ai tout essayé, du soft au hard, au travers des deux rôles, mais ces jours-ci, j'ai plus tendance à être un piétineur. Ce fétiche, je l'ai eu toute ma vie. C'est une histoire commune parmi beaucoup de mecs que je connais qui pratiquent le piétinement. Je suis aussi un adepte des pieds, des chaussettes, des baskets et des bottes… mais c'est définitivement ce fétiche qui m'excite le plus.
L'un des problèmes majeurs des adeptes du piétinement est de trouver des personnes avec lesquelles le pratiquer. Je connais beaucoup d'hommes à travers le monde qui ont ce fétiche, mais la distance est presque toujours un problème. J'ai eu de la chance d'avoir pu rencontrer deux mecs ces dernières années. Mais ce qui se passe généralement entre ces randards, c'est qu'on essaie de pratiquer le piétinement avec des gars branchés sur d'autres fétiches ou avec des non-fétichistes, et les résultats sont divers. Souvent, ils n'en ont jamais entendu parler (« T'es sérieux ? Ça existe vraiment ? ») ou ne le comprennent pas, et ils posent beaucoup de questions.
« Et si tu te blesses ? ». C'est la question la plus commune et la plus juste de ceux qui n'y connaissent rien. D'après mon expérience, il est rare qu'on puisse se blesser sérieusement, mais bien sûr, il faut être prudent. Le corps peut supporter beaucoup de choses, mais il y a des parties du corps à éviter ou sur lesquelles il faut y aller doucement. Avant une première session avec quelqu'un, j'aime parler d'idées, de limites et de mots de sécurité. Faites des plans pour la session. En tant que piétiné, j'ai dû faire plusieurs sessions afin de réaliser quelles choses je pouvais supporter, et aux quels endroits. Pour moi, le piétinement ne doit engendrer que peu de douleur, et c'est une bonne chose. « Tant que personne ne se blesse (trop) ». Si c'est une session dure avec des pas lourds, il y aura des bleus. Ça ne pose pas de problèmes. Il y a des hommes qui aiment avoir des bleus durant plusieurs jours après une session, en souvenir du bon moment qu'ils ont passé. En tant que piétineur, laisser des bleus sur le corps d'un piétiné peut être très satisfaisant, si on l'a bien consenti.
« Pourquoi aimes-tu ça ? » Une question que je me suis souvent posée moi-même. Honnêtement, je n'en sais rien. Je sais simplement que c'est mon truc. Ça m'envoie toujours au septième ciel. Il y avait beaucoup de choses que j'aimais dans mon rôle de piétiné. Le poids, la douleur, les pieds ou les chaussures appuyés ou pressés sur le corps. Cependant, ce qui m'excitait le plus, c'était mes pensées à ce moment-là. Par exemple, si l'autre faisait quelque chose d'assez brusque, je me disais souvent : « J'arrive pas à croire qu'il ait envie de faire ça à quelqu'un ». Surtout si le type était un non-fétichiste que j'avais réussi à convaincre de jouer avec moi. Souvent, je lui dictais quoi faire en étant allongé au sol, et je me disais souvent que j'étais un piètre soumis. Les dominants, souvent, ne m'aiment pas pour cette raison. En tant que piétineur, j'aime avoir une idée claire de ce que vit le piétiné pendant que je suis sur lui. Le fait de piétiner quelqu'un, de marcher sur lui sans qu'il nous arrête, éveille un sentiment de dominance. Ça peut aussi être un délire mégalo. Si le piétiné peut le supporter, j'aime les sessions brusques.
J'ai eu beaucoup de sessions géniales dans ma vie, donc il m'est difficile de parler de favorites, mais il y en a deux qui me viennent à l'esprit. Quand j'avais environ 25 ans, j'ai rencontré quelqu'un qui pendant une année ou deux venait régulièrement pour me piétiner. Il était dans les mêmes âges que moi, faisait 1.85 m, à peu près 85 kg et il chaussait du 43. Il n'avait jamais fait de piétinement de sa vie, mais c'était comme une seconde nature chez lui et il n'a eu aucun problème à me marcher dessus. Dès la première session, il a fait tout ce que je lui ai demandé sans hésitation ou peur de me blesser. C'était très excitant en soi. Nos sessions duraient 1 à 2 heures, entrecoupées de deux pauses. Parfois, c'était gentil et il se tenait principalement debout sur moi, en chaussettes. Il bougeait sur moi, de tout son poids, et il écrasait lentement toutes les parties de mon corps. D'autres fois, je lui demandais d'apporter ses bottes lourdes et de me marcher dessus brutalement. Après cela, j'avais souvent mal partout pendant des jours, mais ça ne faisait que de m'exciter à nouveau et me donner faim en pendant à la session suivante.
J'ai maintenant la trentaine bien entamée et je suis principalement dans le rôle du piétineur. J'ai piétiné quelques personnes quand j'avais la vingtaine, mais c'est seulement plus tard que j'ai réalisé que ce rôle était plus naturelle chez moi, du fait de mon côté dominant et sadique. Ces dernières années, j'ai rencontré beaucoup de gens qui voulaient se faire piétiner, et ça n'a fait que consolider mon choix. Une de mes sessions préférées de ces derniers temps s'est passée avec un piétiné qui est venu me voir de l'étranger. Il est petit, mais très fort. Je chausse du 46-47, et mes baskets avaient l'air d'être énormes sur son petit corps. Je lui ai marché sur tout le corps, et il n'a jamais utilisé les mots de sécurité. Je n'y suis pas non plus allé de main morte. J'étais impressionné par sa résistance sous mon piétinement lourd. De savoir qu'il avait mal sous mon poids mais que ça lui plaisait était excitant. On a eu 3 sessions durant son séjour de 5 jours. Pour l'une des sessions, j'ai invité un ami à se joindre à nous pour qu'il m'aide à le piétiner. À un certain moment, mon ami et moi avons commencé à nous embrasser et à nous enlacer sur lui, en ignorant complètement ses débats sous notre poids. C'était un moment très chaud pour nous trois, et on en parle encore à ce jour. Vers la fin de la 3ème session, j'ai piétiné son entrejambe. Il n'a pas pu se contenir plus longtemps et a envoyé la sauce sous mes baskets. Il portait un short, et j'ai vu son foutre pénétrer le tissus.
Pour moi, ce qui se passe après les sessions dépend de l'autre personne. J'aime passer du temps avec l'autre et discuter, surtout si on s'est adonnés à des jeux de rôles, mais souvent, le temps ne nous le permet pas. Parfois, il semble qu'il n'y ait jamais de bon moment pour s'arrêter et poser des questions durant une session, ou alors ça tuerait l'excitation. Si on ne peut pas discuter, j'envoie un message plus tard dans la journée, et le chat découle généralement sur ce qui était bon et ce qui ne l'était pas.
J'ai beaucoup de profils de piétinement sur différents réseaux sociaux, en plus d'un blog. Je suis toujours heureux de parler aux personnes qui s'intéressent à ce fétiche. Il y a également beaucoup de profils de piétinement sur Recon. Si vous trouvez un gars près de chez vous avec lequel
ça vous dirait d'essayer, rendez-lui un service et aidez-le. Si vous avez passé une mauvaise journée, vous allez probablement aimé le fait de marcher sur le corps d'un homme, avec en bonus celui de lui faire prendre son pied !
Si vous aimeriez partager vos goûts fétichistes dans un article de membre, envoyez vos idées ou une ébauche à : social@recon.com
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