ARTICLE D’UN MEMBRE : CE JOUR OU JE SUIS DEVENU UN RÉEL CHIEN DE GARDE
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Recon News
07 mai 2019
By Batarddomestik
Cela fait maintenant plusieurs années que mon maître m'a dressé en esclave-domestique.
Je fais son ménage, repassage, cire ses pompes, nettoie sa voiture, et je le sers, lui et ses potes, comme un véritable LARBIN. Hier, mon maître m'a envoyé un texto : « Bâtard aux pieds en tenue et équipé demain 8 heures + combinaison de travail, muselière et protège genoux ».
Je me tiens donc prêt, ce matin : collier électrique de dressage serré et cadenassé autour du cou, et laisse.*
Dès que j'entends la voiture arriver, je sors de chez moi et je lui donne la télécommande du collier et la clé du cadenas. Sans un mot, il ouvre le coffre, et d'un regard, me commande d'y rentrer.
On roule un peu plus longtemps que d'habitude...
Finalement, la voiture s'arrête. Cyril me sort du coffre, tenu en laisse, télécommande autour de son cou et fouet à la main. (J'ai l'habitude, maintenant).
« Bon, mes potes sont partis quelques jours. Tu nettoies leur baraque de fond en comble pour qu'ils la trouvent impeccable en rentrant. Ya pas mal de boulot... Aux pieds, le chien. »
Je me mets à quatre pattes, il me tient toujours en laisse. Et il m'envoies trois coups de fouet cinglants. « Fais le beau ». Je fais le beau, et il me gifle à plusieurs reprises.
« T'es quoi ? »
« Je suis le chien de Cyril, la soubrette de Cyril, aux ordres de Cyril, une sous-merde. »
« C'est bien Bâtard, au boulot, et tu te grouilles. Pas de pause. Tu bosses et tu la fermes, t'es un esclave, t'es là pour ça. »
C'est clair que je suis là pour ça... Déjà trois ans que je suis la propriété de Cyril. Je suis commandé, dressé et puni à distance, avec mon collier électrique de dressage : il suffit d'envoyer un bruit, ou une décharge, en appuyant sur un des boutons de la télécommande. C'est pas facile d'accepter d'être réduit en esclave, mais j'ai beaucoup de chance d'appartenir à un Maître tel que Cyril, et tenu en laisse comme son chien. Je sais que c'est ma place d'inférieur.
Il y a pas mal de boulot, je n'ai pas encore complètement fini la cuisine, quand le bip de mon collier retentit. Mon Maître m'appelle :
« T'en es où, le clebs ? »
« Presque fini la cuisine, Boss. »
« T'es pas assez rapide, j'ai quelque chose de prévu après, tu me retardes. Actives-toi ! ». Et mon Maître reste là à me surveiller. M'envoie une décharge.
« Dépêche, j'ai dit ». Je m'active encore plus… « Tu vois t'es vraiment qu'une sous-merde, je suis obligé de te dresser en permanence ! » Et il m'envoie un coup de fouet sur le dos. « C'est bien, là tu bosses, là t'es un bon esclave ! » En quelques minutes j'ai fini la cuisine. Puis Mon Maître m'amène en laisse à la salle de bains. Même technique : me surveille, me fouette et m'envoie des décharges pour m'activer... A ce rythme- là, la maison est finalement impeccable assez rapidement...Je suis complètement épuisé.
« Allez, le clebs, à la gamelle. » Je bois et mange quelques restes de Cyril, qui, entre-temps a déjeuné en regardant son film.
« Bon, clébard, maintenant, vas chercher ta muselière, tes protège genoux et ta combinaison de travail, allez, vite ! »
Je ne vois pas trop pourquoi il me demande ça vu que le ménage est fini. Je pensais qu'on allait partir maintenant. En plus, mon Maître est beaucoup plus brutal que d'habitude aujourd'hui…Je sens que quelque chose de nouveau va se passer, sans savoir quoi exactement, je suis stressé, mais j'obéis au doigt et à l'œil (je n'ai pas le choix de toutes façons)….
Donc j'enlève ma tenue de domestique et met ma combinaison. Cyril me fait mettre ma muselière, mes protège genoux, des mitaines sur les mains, serrées par des sangles cadenassées, et finalement, me cadenasse une lourde chaîne autour du cou, et me met à quatre pattes en me tenant en laisse par la chaîne. Il m'amène vers un piquet scellé dans du béton, et m'enchaîne avec une très courte chaîne de 40 cm environ !
« La maison est complètement isolée, il faut un chien de garde, et je n'en ai pas. Donc à partir de maintenant, t'es un chien de garde. »
Je n'avais pas du tout prévu ça : jusqu'à présent j'ai toujours été un larbin. Mais je me retrouve à présent enchaîné et muselé : je ne suis plus un esclave mais, pire, un clébard ! Je suis paniqué !
Puis il m'envoie une décharge et crie :
« Allez le clebs, tire sur ta chaîne et aboies ! »
Mais je suis déstabilisé et je reste inerte, complètement sidéré. Je reçois alors une deuxième décharge nettement plus forte, et je tire alors instinctivement sur ma chaîne.
« Aboies, le chien », commande fermement mon Maître en me fouettant, « allez, tires sur ta chaîne et aboies », et je reçois encore une décharge, niveau 5 cette fois-ci. J'essaie de faire le beau, mais je ne peux pas me relever, ma chaîne est trop courte. Mon Maître, quant à lui à la fois calme très ferme, poursuit mon dressage :
« Aboie et tires sur ta chaîne, clébard. » Progressivement, je reprends mes esprits. Je n'ai pas le choix : je comprends que mon dressage est en route, mon Maître est déterminé. Pour moi, c'est « no return ». Je me mets alors instinctivement à aboyer de plus en plus fort, en tirant sur ma chaîne.
« Stop. Aux pieds ». Je me tais.
« C'est bien, tu commences à comprendre : Je t'ai vraiment avili en sous-merde à ma botte. T'es enchaîné et réduit en clébard. En plus comme je t'ai muselé, t'es obligé d'aboyer avec le fond de la gorge comme un vrai clébard, tu me plais beaucoup comme ça, mon clébard ! »
Et me passe la main dans les cheveux…
« Bon, à chaque décharge, t'aboies et tu tires sur ta chaîne, jusqu'à ce que je te mette aux pieds, tu vas le faire plusieurs fois de suite, t'auras même plus besoin de réfléchir, tu vas devenir un bon clébard, t'inquiètes pas ! »
Et mon dressage reprend de plus belle : décharges électriques et, pour m'enrager encore plus, mon Maître me fouette et me donne des coups de pieds... « Aboies, clébard, aboies. » Au bout d'une heure de ce training intensif, je suis complètement conditionné en chien de garde.
« Impec, tu es un parfait chien de garde maintenant. Tu vois, tu y es arrivé, t'es nickel comme ça ! Dès que t'entends un bruit, tu réagis. Comme on ne voit pas du tout le jardin de l'extérieur et que le portail est haut, tu fais très bien l'affaire. Tu seras aussi dissuasif qu'un vrai clébard.
Mes potes vont être super contents. Ils voulaient que leur maison soient nettoyée et gardée, tu fais très bien les deux. Je vais leur envoyer une vidéo de leur maison nickel, et de toi en chien de garde. »
« Tiens, au fait, de temps en temps, soit moi, soit des potes, on va passer par là, donc, si jamais tu ne fais pas ton boulot de chien de garde, tu vas morfler, je te le garantis ! T'es surveillé, le clebs. »
Juste à ce moment-là, une voiture arrive. Je me mets alors instantanément à aboyer et à tirer sur ma chaîne, en bon chien de garde.
C'est Alex, le meilleur pote de mon Maître (qui m'exploite aussi assez souvent comme esclave). Je continue d'aboyer et de tirer sur ma chaine (c'est épuisant). Alex sourit en me voyant.
« Ça y est, il a l'air au point, non ? », il dit à Cyril. « Ta gueule le chien, aux pieds ». dit Alex. Je suis immédiatement aux pieds d'Alex, qui en profite pour m'asséner un coup de pied, en rigolant.
« Il est top, comme ça avec sa chaîne et sa muselière, on devrait lui mettre plus souvent. »
« Ouais c'est vrai, t'as raison », reprend Cyril. « J'ai envoyé des photos et vidéos à mes potes, ils sont rassurés que leur baraque soit bien gardée, ça leur va. Ils pensent refaire comme ça à l'avenir. » Et pendant qu'ils discutent tranquillement, moi je suis à leurs pieds, enchaîné et muselé. Cyril a toujours le fouet à la main.
« T'as eu du mal à le dresser ? »
« Non pas trop, je l'avais déjà un peu dressé par la passé, mais pas autant. Il est vraiment au carré maintenant, t'as vu d'ailleurs, en arrivant ? »
Ils parlent de moi comme de leur chien, tout naturellement… Ce que je ressens à ce moment-là, c'est que je suis devenu pour eux et pour moi-même, ni plus ni moins qu'un chien de garde. J'ai été dressé tellement sévèrement que j'ai acquis des réflexes conditionnés. Je suis encore descendu dans ma condition, encore plus avili en inférieur, aux pieds de mes Maîtres, entravé et muselé. Ça peut paraître pitoyable bien-sûr, mais moi, je suis fier d'être un bon chien : c'est ma place de bâtard, je dois considérer que j'ai beaucoup de chance d'être en appartenance. Quelque-part, je suis heureux d'être dressé en chien de garde et fier d'avoir des Maîtres.
« Bon, Alex, tout est au point maintenant, non ? On y go ? »
« Ouais, on va se faire un petit resto, on lui ramènera un doggy-bag, s'il est sage. »
Et mes Maîtres s'en vont sans un regard pour moi.
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* Les colliers de choc électrique peuvent être nocifs. La vidéo ci-dessous fournit des informations supplémentaires
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